J’aimerai savoir d’où je viens
4 ans et plus de 10 000 heures passées sur une obsession devenue une vocation.
Des heures incandescentes 🕯️, des litres d’encre 🖋️, des larmes de deuil et de gratitude plus tard,
Conclusion : Vous êtes incroyables ! Merci de m’encourager à vivre de ma passion.
Je vous raconte !
J’ai attrapé le palu à 5 ans, en pension.
Pendant plusieurs jours, la fièvre ne m’a pas quittée. Satané moustique qui tue des milliers de personnes chaque année, avec un taux élevé de mortalité infantile. Ma mère me manquait. J’avais peur.
Pourtant, il y avait bien quelqu’un qui, qlq min, malgré son âge très avancé, venait à mon chevet chaque jour avec du karitsa ( thé) et des biscuits petit beurre me raconter une histoire sur sa famille.
La fièvre n’est jamais retombée, ma passion pour l’Histoire, l’Anthropologie et les Histoires Familiales a commencé là.
J’ai toujours aimé discuter avec les personnes plus âgées, les séniors, cherchant leur contact, les écoutant des heures, parler de leurs regrets, de leurs réussites, de leurs peurs. Ma curiosité ne compensait pas l’immense solitude qui pouvait les tuer plus que la maladie mais j’avais la sensation que ces espaces hors du temps rendaient hommage à la résilience de l’être humain. Bref, quand souvent je m’ennuyais avec les gens du même âge que moi, je me sentais bien avec leurs grands-parents. J’avais la sensation qu’ils avaient bien plus de sagesse que nous, jeunesse impétueuse et impériale. Que nous gagnerions à écouter certains conseils de nos aînés pour continuer l’histoire autrement.
Mon éducation m’ayant appris le respect et la dignité des aînés, c’est devenu une valeur puis une force.
La naissance de mes enfants a précipité le besoin de comprendre mon histoire familiale et celle de leur père.
Aujourd’hui, qu’ils aient 7 ans ou 77 ans, j’accompagne des centaines de personnes à faire des recherches sur leur généalogie, partout dans le monde. Il y a tant d’émotions libératoires, révélatrices, constructives !
Pourquoi cette obsession qui dépasse l’humilité ?
Je me sens bien + utile ici, convaincue que ce fil rouge résoudra le mythe de Sisyphe qui empêche l’être humain de s’accomplir dans sa mission véritable. Ma conviction ? Que l’évolution de la conscience verticale et horizontale passe par la transmission. Flippez pas !
Les 5 questions qui reviennent le + quand j’ai une demande 📞 :
1. J’aimerai savoir d’où je viens
2. Je veux garder une trace de mon arbre généalogique
3. Je me cherche, qui je suis ?
4. J’aimerai parler de mon histoire familiale à mes enfants
5. Je reproduis la même chose que mes parents
Mon histoire est banale, elle parle d’une femme qui après une succession de chocs émotionnels s’est autorisée à se connaître, se former et s’aligner dans sa passion. J’ai une immense gratitude pour votre confiance. Et pour chaque petit miracle quotidien produit grâce à un stylo violet 🖊️, du papier et des gens qui se parlent.
Merci 🙏
Des heures incandescentes 🕯️, des litres d’encre 🖋️, des larmes de deuil et de gratitude plus tard,
Conclusion : Vous êtes incroyables ! Merci de m’encourager à vivre de ma passion.
Je vous raconte !
J’ai attrapé le palu à 5 ans, en pension.
Pendant plusieurs jours, la fièvre ne m’a pas quittée. Satané moustique qui tue des milliers de personnes chaque année, avec un taux élevé de mortalité infantile. Ma mère me manquait. J’avais peur.
Pourtant, il y avait bien quelqu’un qui, qlq min, malgré son âge très avancé, venait à mon chevet chaque jour avec du karitsa ( thé) et des biscuits petit beurre me raconter une histoire sur sa famille.
La fièvre n’est jamais retombée, ma passion pour l’Histoire, l’Anthropologie et les Histoires Familiales a commencé là.
J’ai toujours aimé discuter avec les personnes plus âgées, les séniors, cherchant leur contact, les écoutant des heures, parler de leurs regrets, de leurs réussites, de leurs peurs. Ma curiosité ne compensait pas l’immense solitude qui pouvait les tuer plus que la maladie mais j’avais la sensation que ces espaces hors du temps rendaient hommage à la résilience de l’être humain. Bref, quand souvent je m’ennuyais avec les gens du même âge que moi, je me sentais bien avec leurs grands-parents. J’avais la sensation qu’ils avaient bien plus de sagesse que nous, jeunesse impétueuse et impériale. Que nous gagnerions à écouter certains conseils de nos aînés pour continuer l’histoire autrement.
Mon éducation m’ayant appris le respect et la dignité des aînés, c’est devenu une valeur puis une force.
La naissance de mes enfants a précipité le besoin de comprendre mon histoire familiale et celle de leur père.
Aujourd’hui, qu’ils aient 7 ans ou 77 ans, j’accompagne des centaines de personnes à faire des recherches sur leur généalogie, partout dans le monde. Il y a tant d’émotions libératoires, révélatrices, constructives !
Pourquoi cette obsession qui dépasse l’humilité ?
Je me sens bien + utile ici, convaincue que ce fil rouge résoudra le mythe de Sisyphe qui empêche l’être humain de s’accomplir dans sa mission véritable. Ma conviction ? Que l’évolution de la conscience verticale et horizontale passe par la transmission. Flippez pas !
Les 5 questions qui reviennent le + quand j’ai une demande 📞 :
1. J’aimerai savoir d’où je viens
2. Je veux garder une trace de mon arbre généalogique
3. Je me cherche, qui je suis ?
4. J’aimerai parler de mon histoire familiale à mes enfants
5. Je reproduis la même chose que mes parents
Mon histoire est banale, elle parle d’une femme qui après une succession de chocs émotionnels s’est autorisée à se connaître, se former et s’aligner dans sa passion. J’ai une immense gratitude pour votre confiance. Et pour chaque petit miracle quotidien produit grâce à un stylo violet 🖊️, du papier et des gens qui se parlent.
Merci 🙏